Les membres de votre comité d’entreprise, hors délégué CGT, n’ont aucun doute sur la confiance que vous leur accordez.
Ils en veulent pour preuve les 95 collègues qui sont allés à Palaiseau, les 150 collègues qui sont allés à Rennes, les 183 collègues qui vont au Prud’hommes, vos 180 signatures sur la pétition…
Ils savent que comme eux vous n’êtes pas dupes et qu’en aucun cas nous ne pouvons nous fier à tout dossier qui n’engage personne, car pas écrit ou pas défendu par leurs porteurs dans une AG qui réunirait l’ensemble du personnel de CERIC AUTOMATION.
Alors gardez votre clairvoyance et ne vous laissez pas manipuler par des propos au conditionnel.
Merci encore pour votre confiance et votre soutien.
mercredi 27 janvier 2010
Communiqué de votre CE:
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La confiance est une chose qui se gagne, qui se perd aussi, mais surtout qui se trahit.
RépondreSupprimerC'est bien là dessus que vous jouez pour faire passer vos idées et manipuler les faits.
Quoi qu'il en soit les moutons vont à l'abbatoir, et vous serez en bonne partie responsables, si personne ne vient les sauver.
C'est pas très grave on fêtera tous l'arrivée du printemps chez nous...
Le commentaire anonyme de 19h36 ressemble étrangement aux discours que DABROWSKI a commencé à nous servir depuis 2 ou 3 AG.
RépondreSupprimerA savoir, essayer de mouiller les salariés de CERIC AUTO et plus particulièrement tous les membres du CE car ils sont en désaccord avec lui. Ça sens l'aigris, attention aux brûlures d'estomac.
Les mouiller dans ce qui va peut-être être une catastrophe pour 66 repris de CERIC AUTO : la liquidation.
Les mouiller aussi pour cacher le fait que jusqu'à maintenant il n'a pas fait grand chose de positif pour CERIC AUTO.
Que ce soit dans un dossier ou un autre, il y en a un qui a le mérite d'exister, on sait tous que de toute façon il y en a qui vont rester sur le bord de la route.
C'est qui «si personne ne viens les sauver» c'est NEW CERIC ? Essayes tu de nous faire croire que c'est le CE qui empêche NEW CERIC de déposer un dossier de reprise pour CERIC AUTO.
Allons allons quel piètre manipulateur tu fais, la 1ére raison pour laquelle quelqu'un reprend une société c'est bien l'investissement financier qu'il veut faire et les bénéfices qu'il souhaite en retirer. L'aspect social vient après.
JMS membre fondateur de NEW CERIC ne vient pas sauver, sur son blanc destrier, CERIC AUTO pour une seule raison, parce qu'il ne croit pas en nous qui sommes des mauvais, rappels toi il nous l'a déjà dit.
Personne ne viendrait investir pour sauver une société en laquelle il n'a pas confiance.
Quand au cynisme de ton dernier paragraphe, il me rappel vraiment une personne qui a dit «il va m'entendre monsieur LEGRIS, je vous garanti qu'il va m'entendre, il a pas fini de m'entendre...» pour ceux qui ne se rappel pas de ce moment grand-guignolesque (yes plus fort que superfétatoire) après coup, voir la toute 1ére vidéo de ce blog à 5 minutes et 20 secondes.
Il serait bien que notre CE nous explique comment il entend mener la lutte pour que les 140 non concernés par Tellus puissent se reconstruire un avenir avec un peu de dignité!!!
RépondreSupprimer(Ne comptons pas trop sur Monsieur Bouhot pour faire dans le social).
Je pense qu'il faut arrêter de taper sur Serge,il ne répond même pas à vos provocations, je ne le vois plus dans l'entreprise et je crois qu'il va nous laisser tomber lui aussi,au vu des commentaires à sa place c'est ce que je ferais, notre C.E. se retrouve de plus en plus isolé et comme l'anonyme de 9:14, j'aimerais bien savoir ce que compte faire le C.E.
RépondreSupprimerIl y en a marre des menaces de cette république bananière. Au moins Dab il écrit ce qu'il pense et ne plie pas devant les intimidations.
RépondreSupprimerOn a vraiment l'impression que c'est la même personne qui a écrit les 3 derniers commentaires.
RépondreSupprimerPeut-être même l'intéressé.
C'est vrai république bananière c'est une expression qu'il utilise souvent...
RépondreSupprimerIl y a aussi celle-ci qu'il utilise souvent : l'intelligence c'est comme la confiture, moins on en a plus on l'étale.
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