vendredi 26 février 2010
De nouveau un report
L'audience à été suspendue, l'administrateur viendra faire un AG lundi ou mardi, nous aurons plus d'infos lundi.
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Ce blog est créé pour communiquer sur la situation de l'entreprise CERIC Automation à Nolay (21)
Il sera intéressant que Maître Bourtourault nous explique Lundi son appréciation de l'offre de la Société Nouvelle d'Ingénierie Briques et Tuiles SNIBT qui semble être financée sans la présence de Legris/Keller.
RépondreSupprimerNew Ceric n'existera jamais en Bourgogne, le plan n'a pas été accepté par le tribunal.
RépondreSupprimerIl serait également bien qu'il rencontre le CE avant de faire l'AG.
RépondreSupprimerNew Ceric va t-il continuer maintenant sans avoir les fonds bourguignon? il va leur manquer la moitié de leur financement.
RépondreSupprimerEt si Legris ne donne pas les capitaux à Tellus, tous à Pole emploi
RépondreSupprimersi je comprend bien new ceric ne peut pas reprendre equipceramic, et ne peut pas reprendre ceric-auto, comment ca va marcher tout ca?
RépondreSupprimerPetit compte rendu fait par M.Pénillard à la sortie de l’audience à Dijon.
RépondreSupprimerAvec les banques c’est pratiquement résolu.
Le financement est en cours de bouclage.
Si Legris maintient ses engagements financiers, nous pourrons redémarrer l’entreprise, nous aurons une réponse de Legris dans quelques jours.
L’offre New Ceric a été présentée trop tard elle est écartée.
Prochaine audience en fonction de la décision de Legris.
Si Legris ne finance pas il va finir au trou, triste compensation pour tout ce gachis.
RépondreSupprimerPenillard il nous dit que le financement est en cours de bouclage depuis 6 mois. Que mérite cet usurpateur?
RépondreSupprimerMême pas au trou ! en nous mettant en cessation de paiement Legris s'est débarassé de nous, ils n'ont plus aucune obligation envers la division Keyria France
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerLe pire c'est que cela va trainer encore 15 jours d'esbrouffe politico-judiciaire et une fois les élections régionales passées plus personne! liquidation assurée!
RépondreSupprimer(sauf si Fourtourault trouve des charmes soudains à un projet qui a su trouver un financement d'entrepreneur et non de maître chanteur).
certains se battent pour sauver ceric et je pense que ce n'est pas facile, d'autres plus nombreux, critiquent, grognent, insultent, mais ne font rien de bien constructif, alors quelle est la meilleure solution à votre avis ? tout faire pour que ceric continue à vivre, ou bien laisser partir votre entreprise en fumée ?
RépondreSupprimerPour ma part je préfère les gens qui se battent c'est beaucoup plus enrichissant (intellectuellement j'entend) car ceux qui jappent fort ne produisent que du vent. Bon courage à tous et essayez de rester digne et fort dans la tourmente, le principal c'est que ceric auto renaisse de ces cendres et que tous, à plus ou moins long terme reviennent dans la boite où ils étaient fiers de travailler.
Ces promesses de réembauche personne n'est dupe.
RépondreSupprimerTellus n'est pas le seul projet de reprise, la méthode employée pour laisser le champ libre à cette équipe relève de la barbouzerie.
Il y en a d'autres qui se battent pour relever CERIC (et proprement s'il vous plait)!
Et PPE, qui continu a endormir les gens , avec ces financements, depuis six mois et toujours pas boucler, quant aux engagements de Legris, faut pas rêver, leur but premier a bien été de fermer CA, et de couler Ceric pour éviter toute concurrence a Keller.
RépondreSupprimertu te trompes mon cher ami, ils ne se battent pas pour sauver Ceric, mais pour sauver leur place
RépondreSupprimerJe suis de Ceric Paris et nous, on aimerait bien que Legris donne de l'argent à Tous les salariés qui vont allés au Pole emploi, ceux de Nolay, de Paris, de Fimec, d'Adler, de Tecauma, de Limoges, de Pelerin , de Wistra, ...
RépondreSupprimerTOUS, pas simplement les Tellusiens pour leur donner un beau salaire !
tout ceci est une honte c'est encore une histoire de gros sous et c'est encore les ouvriers qui vont trinquer !!!!!!il y a vraiment des bourres pifs qui se méritent !!!!!!!!
RépondreSupprimerA la lecture de certains commentaires je suis effaré, on a l'impression qu'ils préfèrent la fermeture de leur entreprise c'est navrant, je commence à comprendre, et c'est bien triste, que les patrons partent ouvrir des boites à l'étranger. Les repreneurs, quelqu'ils soient, essaient de garder le savoir faire français chez nous alors ne tirez pas sur les ambulances, au contraire, aidez les à sauver ce qui peut l'être. A bon entendeur!!!
RépondreSupprimerNe nous trompons pas de combat, il n'y a toujours eu qu'un plan a Nolay, les recuprations de dernieres minutes pour recolter l'argent de la région et de Legris n'ont pas bernées les autorités bourguignone.
RépondreSupprimerPHE et sont financier qui viennent nous dire qu'il n'y a pas de travail pour nous dans les 3 ans a venir et que la sous activité sera payée par la region et Legris, de qui se moque t-on, c'est ce qui s'appelle un bon investissement, on liquide tout dans 18 mois et on a tout empoché, pas de ca chez nous.
Bernard Tapie a fait des petits
RépondreSupprimerAncien Stéphanois je me remémore la débâcle de Manufrance et y trouve de bien tristes similitudes avec ce qui nous arrive :
http://www.lexpress.fr/informations/sdbo-la-banque-des-copains_624933.html
« Mais c'est Bernard Tapie, le client qui a rendu la SDBO célèbre, qui va en même temps précipiter sa chute: sa complicité avec Pierre Despessailles (qu'il avait connu président de chambre au tribunal de commerce de Paris, à l'époque où il rachetait des entreprises pour le franc symbolique) a entraîné la banque à le soutenir au-delà du raisonnable. »
Pierre Despesailles aux finances et au Tribunal de Commerce, Bernard Tapie à la tête des entreprises et dans les médias. Cela ressemble à la complicite Emmanuel Chevignard/Philippe Penillard.
Je suis complètement d'accord avec le 14:42 ainsi qu'avec tous les commentaires non discriminatoires.
RépondreSupprimerOn a l'impression que pour certaines personnes, il est très facile de trouver 6 millions.
Pourquoi ces gens là n'aident pas les repreneurs à trouver de l'argent puisque cela semble facile plutôt que de constamment critiquer les actions réalisées pour sauver ce qui peut encore l'être,
Les critiques nous nuisent à tous.
Si Legris donne de l'argent à Tellus, il n'y a aucune raison qu'ils n'en donnent pas non plus aux personnes qui resterons sur la touche. Agissons plutôt tous ensemble pour nous en sortir et encourageons le plan qui nous interesse sans taper sur l'autre.
je désapprouve tous les commentaires non constructifs et n'envie vraiment pas ces gens qui ne croient plus en rien.
Bien amicalement à tout le monde.
donner de l'argent a ceux qui resterons sur la touche? vous avez le droit de rêver bien sur !!!!!
RépondreSupprimerLes relents nationalistes et chauvins de certains commentaires me désolent, surtout pour nous, société à l'international...
RépondreSupprimerDe plus, souvenez-vous bien, Paris a été mis en RJ 3 mois après Nolay. D'où le retard de l'offre proposée. Est-ce un motif suffisant pour l'écarter ? Surtout que Tellus n'a toujours pas réussi à monter la sienne. Et à ma connaissance, NewCeric n'utilise pas les fonds de la région ou de Legris.
Pourquoi ne pas choisir la meilleure solution, plutôt que la première ? Ou au moins lui donner sa chance ?
Oui, la proximité des élections régionales, malheureusement, joue son rôle...
Par-contre oui, l'argent de Legris doit aider tous ceux qui resteront sur le bord de la route, quelque soit sa société. Et les actions entreprises vont nous y aider.
Il n'y a eu qu'un seul plan à Nolay, a bon ! Il faut dire qu'il y en a qui ont tout fait, un petit mail par-ci une petite lettre par là avec quelques signatures, (ça peut servir pour assurer ses arrières) des représentants des salariés pro- Tellus et ils s'accrochent même avec un deuxième projet il continue de siéger au tribunal, le carnet de commandes aussi vide que celui de New ceric, mais eux ils auront moins de monde à payer a rien faire, quant à l'argent de la région et de Legris le scénario est le même dans les deux cas
RépondreSupprimerben moi je dis que si c'est être chauvin et nationaliste de vouloir garder son travail, alors oui je suis chauvin, mon travail me permet de faire vivre ma famille, ceric est une boite qui travaille partout dans le monde, c'est sûr, les clients aprécient notre travail, donc pourquoi vouloir que tout parte ailleurs. espérons que chacun d'entre nous puisse continuer de vivre décemment, je ne voudrais pas être obligé de partir travailler pour 200 enros par mois ailleurs!!!
RépondreSupprimerEn 2007 j’ai cru en Legris, en ses valeurs, en un renouveau du groupe CERIC. J’ai cru en Philippe Pennillard les grands projets, le PPO…
RépondreSupprimerEn 2009 j’ai été très proche du projet Tellus, j’ai même failli y mettre les économies familiales.
Aujourd’hui face au gâchis provoqué par la folie des grandeurs de Legris je suis très déçu.
Aujourd’hui après 6 mois de rendez vous manqués de Tellus-LEIA je n’y crois plus mais alors plus du tout.
Je pensais que Patrick Hebrard serait une planche de salut fiable pour l’activité terre cuite du groupe apparemment les apparatchiks lui coupent les pattes…
Grande grande énorme est mon amertume.
Par contre quand je vois que les aides publiques et l’argent de Legris pour la revitalisation atteindrait plus de 60 000 euros par emplois sauvé je me demande si je ne vais pas me mettre à mon compte.
Maître Bourtourault quel est le mode d’emplois pour bénéficier de ce coup de main ? Je suppose qu’il n’est pas réservé qu’au seul projet Tellus. Rassurez nous sur ce point dès demain s’il vous plaît.
Afin de faciliter la préparation de l’AG de demain je soumet à Maître Bourtourault un petit récapitulatif des questions qui se posent suite à l’audience de Vendredi :
RépondreSupprimer- Est-il certain que notre trésorerie ne nous permet pas de faire la paye fin Mars ?
- Que se passe-t-il si Legris repousse/ traine/finasse au delà de fin Mars ?
- Comment s’assure-t-on que le soutient des politiques survivra aux élections régionales ?
- Que se passe-t-il si SNIBT/ Hebrard rachète au TC de Paris CERIC – PELERIN- HALLUMECA le 10 Mars?
o LEIA/Penillard maintient il son offre sur Nolay sans avoir ni l’ingénierie ni la prépa terre ni les fours et brûleurs?
o L’offre SNIBT/ Hebrard serait-elle envisagée par le TC de Dijon ?
o Bénéficierait-elle des 4,25 millions d’euros d’aide à la revitalisation issue des aides publiques et de Legris ?
o Dans ce contexte pourquoi le TC de Dijon n’a pas entendu SNIBT/Hebrard Vendredi ?
- Concernant l’offre LEIA : cette promesse de croissance et de réembauche qui est très alléchante ne mériterait elle pas d’ être plus engageante (surtout au regard de l’argent capté au titre de la revitalisation) ? Envisagez vous de l’assortir de contraintes financières (remboursement de l’aide publique, aide aux personnes non réembauchées au bout de un an ou deux ans) ?
- Concernant le pack revitalisation supérieur à 60 000 euros par poste sauvé par LEIA et ACSM, est ce que d’autres projets peuvent en bénéficier (par exemple création d’entreprises individuelles, rachat de commerce,…) ? si oui quelle est la procédure pour faire acte de candidature ? combien de temps cette offre sera-t-elle ouverte ? Est ce que les municipalités de Nolay et Montchanin seront impliquées dans la gestion de cette aide à la revitalisation ?
- Concernant le supra légal pour les salariés non repris (à priori 5000 euros par salariés) : Comment expliquez vous que cette somme soit plus de dix fois inférieure au pack revitalisation ? Ne pourrait-on pas exiger que Legris verse 60 000 euros de supra légal à tous ( ils en ont largement les moyens) ?
- Que pouvez-vous nous dire sur l’enquête financière à ce stade ? (au bout de 6 mois il doit y avoir du concret, on entend toutes sortes de bruits sur l’implication de nos anciens dirigeants, y compris sur des candidats repreneurs il serait bien d’avoir une information avant les choix définitifs).
Si je résume la grande manœuvre:
RépondreSupprimerTout d’abord tu repères une cible qui va aller au tapis : tu connais bien, tu étais dans la place et tu quittes le navire au bon moment tout en gardant la main sur quelques personnes influentes (comme des représentants du personnel ou quelques leaders d’opinion fort en gueule) ensuite la recette est la même pour tous :
a- tu mets de l’agent sur la table mettons 200 euros (juste pour mettre un chiffre)
b- tu trouves quelques pigeons qui vont faire de même mais sur des montants plus petits de 20 à 100 euros (il faut que tu gardes la main)
c- le tout réuni constitue un petit pactole rondelet entre 800 et 1 000 euros
d- tu mets alors le tribunal de commerce en haleine avec politiques et médias réunis (un peu comme BKC chez Heuliez) et tu tiens des salariés en otage pendant plusieurs mois : t’y vas , t’y vas pas, faudrait m’aider, j’y étais presque mais un investisseur vient de lâcher, faudrait m’aider un peu plus …
e- les bonnes fées sont sous la contrainte, la trésorerie devient riquiqui, les élections approchent (il y en a tous les ans en France) et finissent par te trouver 5 000 euros (quitte à aller mordre un peu de l’autre coté de la bande jaune).
f- Youpi ! tu ramasses la boîte à la barre du tribunal de commerce : la bonne affaire est dans le sac tu viens de prendre la tête d’une boîte qui vaut 6 000euros avec tes 200 euros de mise de départ.
Là beaucoup disent bravo l’artiste un coup de roulette trente fois la mise en moins d’un an sur un dossier… Mais ce n’est que le début ensuite il convient de :
a. Pigeonner tes associés (par exemple en sortant les actifs immobiliers dans une SCI réservée à de rares élus et faire payer des loyers confortables à la boîte de départ sous prétexte d’optimisation fiscale)
b. Faire monter la valeur de la boîte en réalisant quelques affaires juteuses sur des anciens contrats en bernant les banques qui s’étaient portées caution au départ (en plus cela arrange les affaires d’une de tes connaissances personnelles du coté de Leningrad qui ne t’oublieras pas au passage sur un compte discret offshore) > premier exercice bénéficiaire ! du jamais vu depuis des années ! un nouveau capitaine d’industrie est né !
c. Dans l’année qui suit du monte un gros bateau à tes potes (tu dois passer la main pour alléger la barque, la boutique est sur des rails) et tu ramasses la mise au moins 1000 à 2 000 euros.
d. Tes potes empruntent pour te payer tes parts, les commandes ne sont pas au rendez vous : gros problème…
e. La boîte est à nouveau dans le rouge mais pas de soucis les actifs ont bien été détourrés.
f. Toi tu es à la tête de 1000 à 2000euros il ne te reste plus qu’à trouver une cible plus grosse…
j'espère que l'auteur du post précédent était aussi fort au travail qu'en imagination.
RépondreSupprimersi plus haut ils avaient été fort en travail ont en serait pas la !!!!! je trouve son analyse plausible !!!!!
RépondreSupprimerC’est vrai qu’il faut saluer l’aide des pouvoirs publiques en Bourgogne pour un total de 5 millions d’euros (si j’ai bien compris 1 million de la région et 4 millions des anciens actionnaires au titre de la revitalisation des bassins d’emploi de Nolay et Montchanin).
RépondreSupprimerCertainement sans des gens comme Jean Pascal, Sauvadet, Patriat et consorts nous n’aurions pas eu autant de soutient.
Par contre la répartition de cette manne telle que l’explique nos représentants est proprement scandaleuse :
- à peine 5000 euros pour les salariés qui ont été tenus en otage pendant 8 mois. Une misère quand on regarde les coûts d’une formation ou d ‘une mission d’aoutplacement. Une misère pour ceux qui devront quitter la région. Une misère pour ceux qui devront prendre une activité indépendante. Une misère pour ceux qui devront tenir de longs mois aux ASSEDICs.
- Plus de 250 000 euros d’aide des pouvoirs publics et enveloppe revitalisation ( 4, 250 millions d’euros à répartir sur moins de 20 investisseurs privés) avec en plus un rachat des actifs de CERIC AUTOMATION a prix cassés.
Donc le compte n’y est pas pour moi qui souhaite maintenant partir au plus vite et trouver une nouvelle route. Je suis certains que tous ceux qui partagent mon triste sort comprennent.
Je me suis abstenu de contribuer aux blogs où se retrouvent les salariés de Ceric et Ceric Automation.
RépondreSupprimerJe le fais aujourd’hui pour la première fois, en réaction à l’article paru dans Le Bien Public, parce qu’une information fausse ne nuit qu’à une cause, celle de l’entreprise.
La vérité est que même hors délai, une offre peut être retenue par le Tribunal. La seule offre irrecevable, en droit, c’est une offre sous conditions suspensives… et malheureusement c’est toujours le cas des 2 offres.
J’apprends à l’instant que Patrick Hébrard, porteur du plan Ceric Nouvelle que je soutiens, est convoqué à une prochaine audience du Tribunal de Commerce de Dijon.
Je continue de croire que quel que soit le « gagnant » (et à vrai dire le « gagnant » prendra beaucoup de risques), le seul combat valable est celui du redressement, pas celui d’un plan contre l’autre.
François Poirier – Pléiade Investissement