mercredi 17 mars 2010

DES NOUVELLES DE PARIS

Le tribunal de commerce de Paris a demandé à TELLUS et NEW CERIC d'améliorer leur offre sur Paris. Les deux projets de reprise ont jusqu'au 19 mars pour y oeuvrer.

Ensuite le tribunal de Paris se réunira le 24 mars avec un "jugement rapide".

Votre comité d'entreprise.

3 commentaires:

  1. Réponse de Pléiade à Frank Bigeard
    Je me permets de prendre la parole une deuxième, et j'espère dernière fois ici, pour répondre à Frank Bigeard... Frank, puisque vous faites état de nos conversations, parlons-en.
    Lundi 8 mars, j'ai expliqué à Nolay pourquoi je souhaitais, non pas retirer notre offre sur les 65% d'Equipceramic, mais l'échanger contre l'assurance qu'Equipceramic et Ceric ne se livreraient pas une guerre fratricide.
    Le soir même je vous l'ai ré-expliqué, Frank, à vous qui m'aviez demandé cet entretien, et l'avez conclu en me disant que vous compreniez mieux ma démarche, et que vous regrettiez de ne pas l'avoir comprise plus tôt !
    Vous savez parfaitement que Pléiade n'est pas un fonds, mais un groupe d'entrepreneurs. Cela ne vous empêche pas de répéter cette histoire de fonds, ici et sur votre blog officiel. Pléiade n'a jamais distribué de dividende, et toujours tout ré-investi. Pléiade est toujours actionnaire de Generix, qu'elle a sauvé de la faillite il y a 8 ans, et n'en a jamais touché de dividende. Voilà les faits.
    Je suis prêt, Frank, à vous transmettre le projet de pacte d'actionnaires qui nous lie à Patrick, si vous nous transmettez celui qui vous lie à votre investisseur. Nous verrons de quel côté sont les calculs financiers. Renseignez-vous. Allez sur le site de de votre investisseur, www.ophiliam.com et celui de Pléiade, www.pleiadeinvestissement.com.
    Et oui, en toute logique, compte tenu du fait que Ceric Nouvelle est financée en fonds propres, qu'elle a ses cautions, qu'elle sauve plus d'emplois, et compte tenu du soutien des CE concernés, et du sérieux de l'offre, nous aurions pu nous attendre, comme vous le dites, à un jugement en sa faveur. Nous avons tous entendu que la ré-ouverture de la procédure était due à des éléments fournis par Dijon, sans que nous sachions lesquels. Et je vais vous dire, j'étais sous le choc. Pas pour moi ou pour Pléiade. Mais pour Ceric et pour ceux que je voyais, à la sortie du Tribunal, en colère et désemparés.
    Je termine en espérant qu'ici s'arrête la polémique, et que vous saurez un jour, Frank, me parler franchement, comme je l'ai fait avec vous.

    François Poirier

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  2. Bonjour,

    ce nouveau report est du à "de nouveaux éléments en provenance de Dijon", dixit le CE de Paris.

    Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?

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  3. Messieurs,
    Je vous informe que compte tenu de l’ensemble des éléments à ma disposition, je formulerai la déclaration suivante lors de la réunion de Consultation sur le Livre III du Code du Travail du lundi 22 mars à 10h30 :

    DECLARATION DU SECRETAIRE DU CE

    Selon l’Article L642-2 V du Code de Commerce : « l’offre ne peut être ni modifiée, sauf dans un sens plus favorable aux objectifs mentionnés au premier alinéa de l’article L642-1, ni retirée. Elle lie son auteur jusqu’à la décision du tribunal arrêtant le plan ». Ces objectifs sont en particulier « d’assurer le maintien… de tout ou partie des emplois ».
    Or, je constate à la lecture du Livre III que m’a transmis ce jour l’Administrateur Judiciaire, que le plan LEIA / ACSM a été modifié dans un sens défavorable en terme de maintien de l’emploi : 55 postes repris -dont 8 pour les ateliers par ACSM- contre 66 -dont 16 pour les ateliers par ACSM- dans les versions précédentes.
    En conséquence, l’offre modifiée dans un sens défavorable LEIA /ACSM doit être considérée comme une nouvelle offre, et sachant que la période d’appel d’offre a été clôturée le 24 octobre 2009, cette nouvelle offre n’est pas valide.
    Ou alors, le Tribunal déroge à la date de clôture des appels d’offres et dans ce cas, le nouveau plan LEIA /ACSM mais aussi le plan CERIC NOUVELLE sont valides et ils doivent être examinés par le Comité d’Entreprise pour avis puis par le Tribunal de Commerce.
    C’est pourquoi, je sollicite Maître Bourtourault pour qu’il demande au Tribunal de commerce de Dijon:
    • soit d’accepter de valider les deux offres en présence même si elles ont été remises hors délais (comme cela a été le cas pour l’offre présentée par M. Yann Jaubert pour Fimec au Tribunal de commerce de Paris).
    • soit d’ouvrir une nouvelle période d’appel d’offres.
    Le Comité d’entreprise devra ensuite être consulté afin de formuler un avis motivé sur les deux offres en présence, préalablement à la décision du Tribunal homologuant une des deux offres.
    En conséquence la réunion du 22 mars à 14h00 (consultation PSE) ne peut pas se tenir,

    Je sollicite par ailleurs auprès Maître Bourtourault, la communication de l’intégralité de l’Accord transactionnel signé par les parties concernées dont Legris Industries et autorisé par le Juge commissaire le 9 mars 2010.
    Je souhaite vérifier notamment si les représentants du CE auprès du Tribunal de commerce ont signé une clause validant que la contribution de Legris Industries au PSE de Ceric Automation est de 5 000 € par personne seulement.


    cordialement,

    Serge Dabrowski

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