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De plus un article a également été publié dans le Journal de Saône et Loire:
Montchanin : La maison-mère de Ceric placée en procédure de sauvegarde
Le groupe Keyria a été placé par le Tribunal de Commerce de Paris en procédure de sauvegarde, avec une période d’observation de 4 mois. Durant cette période, le remboursement de ses créances est gelé. Spécialisée dans la conception d’usines de fabrication de briques et de tuiles, la société est implantée à Montchanin, via sa filiale Ceric Automation (environ 30 salariés sur 220). Cette dernière a déjà été placée en redressement judiciaire par le Tribunal de Commerce de Dijon en juillet dernier. Contactée à son siège de Nolay (Côte-d’Or), la direction de cette filiale n’était pas en mesure de nous répondre. « Ceric Automation intéresse quelques repreneurs potentiels » précise cependant le porte-parole de Keyria. D’autre part, la procédure de sauvegarde a aussi suspendue durant quatre mois le plan de réductions d’effectifs de 87 personnes chez Ceric SA.La maison-mère Keyria doit faire face à une situation que s’est dégradée rapidement. Fin 2008, la moitié de son carnet de commandes a été annulée, soit l’équivalent de 6 mois d’activité (427 millions d’euros en 2008). Keyrial emploi 1 900 personnes dont environ 500 en France. Le groupe est présent sur les cinq continents avec une trentaine d’implantations. Aujourd’hui, la direction estime qu’une reprise globale du groupe par une autre société serait « difficile ». Elle compte privilégier une approche segmentée suivant les différentes sociétés (Ceric, Adler…) que compte Keyria. « Nous favorisons aussi les projets de reprises internes par les managers » indique-t-elle.
Le groupe Keyria a été placé par le Tribunal de Commerce de Paris en procédure de sauvegarde, avec une période d’observation de 4 mois. Durant cette période, le remboursement de ses créances est gelé. Spécialisée dans la conception d’usines de fabrication de briques et de tuiles, la société est implantée à Montchanin, via sa filiale Ceric Automation (environ 30 salariés sur 220). Cette dernière a déjà été placée en redressement judiciaire par le Tribunal de Commerce de Dijon en juillet dernier. Contactée à son siège de Nolay (Côte-d’Or), la direction de cette filiale n’était pas en mesure de nous répondre. « Ceric Automation intéresse quelques repreneurs potentiels » précise cependant le porte-parole de Keyria. D’autre part, la procédure de sauvegarde a aussi suspendue durant quatre mois le plan de réductions d’effectifs de 87 personnes chez Ceric SA.La maison-mère Keyria doit faire face à une situation que s’est dégradée rapidement. Fin 2008, la moitié de son carnet de commandes a été annulée, soit l’équivalent de 6 mois d’activité (427 millions d’euros en 2008). Keyrial emploi 1 900 personnes dont environ 500 en France. Le groupe est présent sur les cinq continents avec une trentaine d’implantations. Aujourd’hui, la direction estime qu’une reprise globale du groupe par une autre société serait « difficile ». Elle compte privilégier une approche segmentée suivant les différentes sociétés (Ceric, Adler…) que compte Keyria. « Nous favorisons aussi les projets de reprises internes par les managers » indique-t-elle.
Source: Journal de Saône et Loire du 28/10/2009
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