samedi 31 octobre 2009

Repreneurs

Vendredi 30 octobre avait lieu à la mairie de Nolay, une réunion du groupe des repreneurs qui portent le projet Tellus. Ainsi, france 3 nous à proposé le reportage suivant:

Prochaine étape donc, le 30 Novembre avec la décision du tribunal de commerce de Dijon....

jeudi 29 octobre 2009

Articles presse

Le mercredi 28 octobre 2009, est paru dans le journal Le Figaro, un article sur l'état de la Division Keyria.
Cet article est visible à l'adresse suivante :
http://www.lefigaro.fr/societes/2009/10/28/04015-20091028ARTFIG00061-une-division-de-legris-menacee-de-faillite-.php

De plus un article a également été publié dans le Journal de Saône et Loire:

Montchanin : La maison-mère de Ceric placée en procédure de sauvegarde


Le groupe Keyria a été placé par le Tribunal de Commerce de Paris en procédure de sauvegarde, avec une période d’observation de 4 mois. Durant cette période, le remboursement de ses créances est gelé. Spécialisée dans la conception d’usines de fabrication de briques et de tuiles, la société est implantée à Montchanin, via sa filiale Ceric Automation (environ 30 salariés sur 220). Cette dernière a déjà été placée en redressement judiciaire par le Tribunal de Commerce de Dijon en juillet dernier. Contactée à son siège de Nolay (Côte-d’Or), la direction de cette filiale n’était pas en mesure de nous répondre. « Ceric Automation intéresse quelques repreneurs potentiels » précise cependant le porte-parole de Keyria. D’autre part, la procédure de sauvegarde a aussi suspendue durant quatre mois le plan de réductions d’effectifs de 87 personnes chez Ceric SA.La maison-mère Keyria doit faire face à une situation que s’est dégradée rapidement. Fin 2008, la moitié de son carnet de commandes a été annulée, soit l’équivalent de 6 mois d’activité (427 millions d’euros en 2008). Keyrial emploi 1 900 personnes dont environ 500 en France. Le groupe est présent sur les cinq continents avec une trentaine d’implantations. Aujourd’hui, la direction estime qu’une reprise globale du groupe par une autre société serait « difficile ». Elle compte privilégier une approche segmentée suivant les différentes sociétés (Ceric, Adler…) que compte Keyria. « Nous favorisons aussi les projets de reprises internes par les managers » indique-t-elle.
Source: Journal de Saône et Loire du 28/10/2009

jeudi 15 octobre 2009

La "tuile"

C'est donc le 28 juillet dernier que les directeurs Charles Antoine de Barbuat et J.M Strauss, sont venus à Nolay pour informer le CE qu'ils mettaient la société Ceric Automation en cessation de paiement.

Ne pouvant plus continuer (suite à des pertes de commandes et des erreurs stratégiques) à combler la trésorerie, Ceric Automation est donc déclarée en cessation de paiement et par là même en redressement judiciaire. Une centaine de salariés était rassemblée ce jour devant la société et la décision fut un choc pour les employés:

Vous verrez sur la vidéo ci-dessous la réaction de quelques salariés (reportage de france 3):
Les salariés se sentent donc abandonnés par le groupe Legris lequel s'est versé cette année des dividendes records......

Bienvenue

Bienvenue sur le blog de CERIC AUTOMATION.

Ce blog est créé afin de faire connaitre la situation de l'entreprise Ceric Automation.


Ceric Automation étudie et réalise des machines de manutention pour la terre cuite, elle emploi à ce jour près de 230 salariés répartis sur les sites de Montchanin(71) et Nolay(21).

L'entreprise a été créée en 1963 et depuis ce jour n'a cessé de grandir. Depuis 2006, Ceric Automation a été rachetée par le groupe Legris Industrie.

Ce groupe industriel a donc créé une holding (Keyria) à laquelle appartient l'entreprise nolaytoise.

C'est à partir de là que les "ennuis" ont commencé.....

En effet, la stratégie de Keyria ainsi que la crise économique ont mené Ceric Automation à la cessation de paiement depuis le 31 Juillet 2009. Désormais l'entreprise se trouve sous la tutelle d'un administrateur et attend maintenant un repreneur.

Ce blog vous informera des étapes qui ont eu lieu depuis que la PME est en situation de redressement judiciaire.